Pourquoi Vladimir Poutine va-t-il mettre les pieds en Haïti, et pour quoi faire ?

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini

  • Pourquoi Vladimir Poutine va-t-il mettre les pieds en Haïti, et pour quoi faire ?
  • Entre (), Québec ne feindra ignorer le racisme érigé en raison d’état, fermons-les ().

En mai 2012 j’ai publié Le président Vladimir Poutine est-il réellement en route vers l’île d’Haïti, à travers les colonnes d’H-O, suite à une information. Elle se profilait très sérieuse de sa source. Barrage systématique. Rappelez-vous, c’était l’administration de B Obama très hostile et contre la machine de Vladimir Poutine qui pourtant était connue depuis George W Bush par la voie de la Géorgie de Saakachvili dans l’affaire de l’Ossétie du Sud (je rappelle le fait que me rapporta la conseillère de l’IISS Juliane Smith : «les É. U. n’ont pas les moyens de faire cette guerre»). Et, bien avant cela, par les suites des relations Clinton-Eltsine à Washington, lui laissant le dauphin Vladimir avec la mission, celle de rétablir la grande Russie. Puis, par 2014 en Crimée (Ukraine) où l’on retrouve étonnamment l’ancien président Saakachvili hors de Tbilissi, mais en Ukraine aux côtés de la présidence de Zelensky en 2019, après avoir été déchu de sa nationalité ukrainienne par le président P Porochenko qui l’avait pourtant nommé gouverneur de la région d’Odessa après 2015. Ce, car on connaissait déjà le dossier de la Tchétchénie avec ses guerriers dit-on, financés par un bras de la CIA (ce ne sont pas là mes vœux, ce sont les informations appréciées de l’époque qui ont perdu tout leur sens depuis l’attentat du marathon de Boston de frères (Djokhar et Tamerlan Tsarmaïev) en avril 2013, et qui a coûté la vie à tant de sportifs et de gens de médias.

Il y a eu à l’époque aussi, cette ferveur pour l’école de maths russe que l’on a voulu même encenser pour la victoire de D Trump aux élections, contre H Clinton, au point que certaines critiques vont jusqu’à étaler la comparaison de la faiblesse américaine sur l’école de diplomates-gais de B Obama imposée aux pays souverains comme l’Ouganda par exemple à telle enseigne que le président Mugabe du Zimbabwe de son vivant avait invité Obama (incapable par-devant cette école de maths russe) pour une nuitée zimbabwe…, s’il l’est en fait. École dont la seule défense est d’accuser les autres d’homophobie, niant à néant les homosexuels pédophiles tant à l’intérieur de l’église que dans la civilité, qui vont en territoire étranger agresser la jeunesse, estudiantine démunie, par exemple en RD où le cardinal d’alors N de Jesus Rodriguez leur avait dit : aqui mandamos, […] puis niant le passé tant soit biblique qui parle de Sodome de Gomorrhe et de ses effets, mais de guerriers romains, grecs dans le temps, peinture à l’appui, avec des enfants mâles comme tableau de chasse, ou de jeune homme pour signifier leur virilité. L’histoire parle d’elle-même, cette nouvelle tentative d’envahissement depuis COVID-19 avec ce «tout va bien aller» affiché là où le signe religieux est banni. Comprenons l’orientation de dictature en option, contre les lois de V Poutine l’orthodoxe catholique. Où est l’école de zaz-maths/dessalines ?

J’ai publié aussi l’Europe prenable par la Russie en février 2017, est plus qu’une réalité qui fait peur à l’aube de 2021 au point de négocier à perte. C’est aussi là le même pas de porte de l’Euro avec l’empoisonnement que la France infligea d’ailleurs à Félix Moumié à Genève à même l’Hôtel Intercontinental, d’après les littératures concernées, et que je soulève dans Trudeau doit gagner majoritaire, en 2015. Il y a là plus qu’un problème de conscience chez les acteurs qui nous demandent de ne regarder que dans leur visière. D’où la question suivante : Poutine a-t-il accueilli la nouvelle du refus d’Haïti d’obéir à la loi B-Obama forçant le massage de la prostate chez le jeune homme pour le dénoncer de con-commérage comme effectif associé volontaire par la suite ? Caracas est placé depuis les frasques colombiennes de la drogue, au beau milieu du bastringue. Deux Amériques se battent hors Nord-Sud.

Nous y voilà une fois de plus avec, soit une autre erreur américaine à Caracas, soit une réelle ingérence russe au nez même de DC, pour replacer ses pions de l’ère déchue soviétique, différemment. Pour quelle mission ? Provoquer, vider, bon  voisin immédiat, reprendre ses influences dans l’intégralité, soit répondre coup pour coup aux É. U. de Snowden, sur son territoire même, le forçant à dévoiler plus que le jeu, mais les faiblesses. Guaido n’est plus affable, mais l’idiot que le Canada a lâché aussi.

Si l’on tente d’esquisser une analyse sommaire sur l’ancienne grille, il y a lieu de constater que la mafia décrite de l’époque Nixon-Kissinger qui contrôla tout même à DC, a perdu de ses influences, soit par la compétition de plus en plus agressive d’une nouvelle pensée pékinoise, soit par leur propre faiblesse qui était le racket, non les sciences. Poutine alors, vient-il libérer le reste du monde d’une médiocratie à la saveur de Nagazaki-Hiroshima, ou sommes-nous en danger réel avec cet enfant de la machine soviétique reconverti qui a non seulement appris, mais profite de la notion chinoise pour jouer second, en avant de l’Amérique mauvais perdant à domicile.

De ce pas j’avoue être tenté de soulever le voile d’une part sur Kamala Harris dans la composition Biden-Harris en faveur d’une Amérique consciente de sa sino-faiblesse (évoquée en le dernier refuge de l’Amérique – 2014), qui voulait cette porte ouverte d’influence à proximité par ce que du cinéma je cite : l’axe Bollywood afin de retarder l’avancé Chinoise en l’inquiétant par la racine du sol même, plus, avec un allié qui fait dans la bipolarité de la zone, la forçant à la défensive. D’autre part, Haïti mémoire géométrique-zaz, est-il bien dans ligne de mire de Vladimir Poutine et pourquoi ?

Y avait-il eu détente réellement quand Maxim Nefyodov (ministre de l’Économie, du Développement & du Commerce nous dit, et je cite : «ProZorro’s successful show case offer GPA […] to reducing barriers in international procurement», tandis que les jours préparatoires des élections en cours aux É. U., allaient dévoiler la guerre de bas étage entre les candidats américains impliqués et le phénomène Poutine qui est accusé d’ingérence aux É. U. même. C’est une épique qui nuit à l’Amérique en guerre réelle contre la Chine tant sous-estimée depuis les années nonante.

Il n’est donc pas nouveau ni surprenant de constater la violence d’un soviet nouveau en redessinage pour une autre envolée puisqu’il faut bâtir et non se contenter à la défense, curieux effet malgré tout, l’offensive américaine n’a jamais été propre en ce sens, car elle a été dès son origine, défensive pour défendre une rébellion contre la GB et de conserver les acquis de cette souveraineté. On a donc voulu tromper afin de mieux simuler sa défense, mais en commettant l’erreur de ne pas se convertir en offensive réellement depuis l’esprit de maths pour paraphraser I Kiriow, mais fêter.

Le colosse US est-ce le grand canular d’une main d’argile mafieuse ital qui prit le pas par braquage, contre l’autre Europe ? Ou, où est le signe d’un système d’intelligence strict dans tout ça si ce n’est l’histoire de la chute d’empire ? Dr JGK Alcius dans son exposé : le Poutine-diplomatique, a-t-il omis le zaz-maths effet, il faudra la lui dire. 

La démarche Poutine est-ce d’instrumentaliser la haine contre soit l’Amérique soit la  Chine par exemple, ou de défendre ses propres valeurs puisque tout le monde le fait d’une part, mais d’autre part, est-ce que le conservatisme russophile est un objet russophobe de ceux qui instables se croisent les fers depuis des décennies de lunes malgré se sentant bouleversé par leur passé au point de vouloir tordre le monde qui doit les ressembler, soit  pour les assembler dans ce mal-être de guerres anciennes ?

Poutine en Haïti alors est-ce du pragmatisme comme dans l’affaire de Cuba en réponse à l’invasion américaine incessante basée sur un pseudo offensive, mais en réalité défensive due à une phobie, à cela il faut réitérer les guerres intestines de l’Europe, même de l’Allemagne en soit, comme les velléités dof-Hitler en Autriche ou tout autre lieu lui ressemblant, pour finir par l’annexion l’invasion de Paris ou de Varsovie et plus tard la même condamnée quand c’est la Russie qui gagne.

Haïti, de ce pragmatisme des armes des positions, est-ce la défense de l’orthodoxie catholique russophone qui tend à remplacer les frasques éphémères et mensongères du Vatican (chose que l’on ne saura écarter dans Bernard Lecomte en deux ouvrages sur Les secrets du Vatican et les Derniers secrets du Vatican, branlant la rhétorique de : la croix-l’express-le-Figaro comme spectre d’analyse). Rome tombe encore.

La violence est tant dans la poésie de Nietzsche (Ringgrafs Kleinod où il parla de joyau à voler entre convoitise et complot) que dans celle du théâtre d’Augusto Boal, mais surtout avec Vladimir Poutine quand on apprend à toute vitesse avec toutes les cartes de Xavier Delengaigne et Thérèse de Laboulaye (InterÉditions 2019)

Poutine ne serait si différent des autres en fait, les uns s’en vont pour obéir à une règle plus forte sans laquelle on ne saurait en dire de leur comportement, les autres veulent rester parce que la trilogie de l’homme, bien avant l’humain, car la femme est le soutien pédagogique au foyer pour l’émancipation de cette culture du guerrier et son butin ravi au perdant. Cette trilogie veut la conquête quand il n’y a pas de perte ni de soumission, Haïti en fait ne saurait voir en Poutine l’ami ni l’ennemi du peuple sans l’y avoir tout au moins expérimenté plus que les probabilités apprises du perdant quand la franco-certitude n’honore pas. Pourquoi essayer l’incertain Pékin !

Si Poutine par contre, il y a fort à parier que les frontières russes se réveilleraient en ce beau jour avec la colonne interminable du migrant haïtien, famille confondue au coefficient, cherchant à pénétrer le mur du Jéricho-moscou, défiant l’entendement, comme en forêt amazonienne vers le Nord en 2016-17, forçant l’Armée rouge au service humanitaire, car ce peuple sait émouvoir l’autre de ses zaz-syncrétiques, occuper le terrain de Moscou & environ pour risquer le selfie. Un peuple qui n’a pas eu peur de tutoyer l’aube de l’indépendance incertaine lors d’une guerre féroce et inédite. Réchauffer Moscou au compas, pourquoi pas, la bravoure n’est pas l’obligé de chez Montaigne ni de chez Dostoïevski. L’Haïtien aima déjà Moscou en dépit de Duvalier, il était Malenkov. Il vit à la première personne François Adolphe Himmler. Il est aussi vrai que ce n’est pas Vladimir Poutine qui ira critiquer le délestage économique comme instrument repris, après COVID-19 pour faire entendre la raison à : La désacralisation avancée ou quand l’homélie tombe, pour flirter avec Haïti.

La question est vitale, car le cerveau haïtien se targue de zaz-maths école dans l’essence. C’est-à-dire la grille de calcul logique mental avancée par géométrie-vèvè, de l’âge fondamental, est peut-être cette feuille de calculs de mathématiques pures.